Ce matin, sur le banc de l’osthéo j’aurai bien arrêté le temps. Enfin, le temps tout autour, pas les doigts qui bougaient tout doucement le long de ma colonne, ni l’enchaînement de piano romantique qui passait en douce derrière...même si ça n’est pas ma période préférée...
Je voudrais que ça s’arrête.
Mais ça va finir par s’arrêter, c’est ça le pire.
D’une certaine manière. Les déjà parents ricannent. Mais oui, pour le moment, j’ai l’impression que cet été sera plus reposant que cet (…)
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Public
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Je ne m’habitue pas aux choses qui finissent
8 mars 2013, par Joanna -
Sans regarder dehors
11 février 2013, par Joanna -
l’impatience
4 février 2013, par JoannaC’est une sorte de Tetris du temps, réussir à imbriquer les séances de travail pour optimiser un maximum l’espace restant.
J’ai l’impression d’approcher le stade ultime.
Résulte de ce sentiment une forme d’impatience assez nocive à la qualité de concentration, vouloir/devoir faire plusieurs choses à la fois, animer tout en annotant un planning, que je vais finir par égarer, en ayant, en fait, plutôt envie d’avancer sur mon projet de bande dessinée, tout en pensant à ce que je veux encore (…) -
La plage en hiver 2
30 janvier 2013, par JoannaC’est bien, c’est toujours aussi bien, c’est comme un début de relation amoureuse. Il n’y a pas d’habitude, que de la découverte.
J’ai une qualité de concentration que je ne trouve pas ailleurs en ce moment.
Je mets des passages, ça ne sera pas muet, mais je reviendrai avec les dialogues plus tard, déjà, là, j’arrive presque à faire des planches... -
respire.
24 janvier 2013, par JoannaLes pages manquantes de la séquence de 140 images que j’ai imprimé hier, il les a bien oublié dans sa machine avant de me tendre le paquet. De là où je m’en rend compte, je suis à plus d’une heure de trajet. Ca tombe bien parce que ces jours-ci je ne suis pas du tout sur les nerfs.
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La plage en hiver
16 janvier 2013, par JoannaCe week end, j’ai repoussé l’écran, la palette graphique, ramassé les disques durs, mon story board, j’ai sorti du papier, des crayons, un peu de peinture, une grosse gomme.
Après une semaine bien chargée, j’ai ressorti le dossier bande dessinée...
Ceux qui suivent remarquerons que depuis cet été je n’ai pas fait beaucoup d’allusions à ce projet. Mais oui...
Mais j’ai du mal à être sur tout les fronts pour être honnête.
Et aussi pour être honnête je me demandais bien comment (…) -
en chantier
15 janvier 2013, par JoannaRha ! Ca avance !
Je trouve des trucs dans after effect qui me changent la vie, aussi j’ai le droit de squatter une machine, une bête, un truc fou qui te fait un rendu j’ai même pas le temps de me retourner...
Ah par contre, ça plante parfois... Je me suis fait berner j’ai cru que ça n’arriverai plus jamais, mais si, j’ai paumé deux heures de boulot.
Un truc assez pénible à faire en plus, forcément parce que sinon on n’apprécie pas vraiment.
Bref.
C’est pas fini mais ça ressemble quand (…) -
sur les starting-blocks
1er janvier 2013, par Joanna1er janvier. Début du rush.
J’ai 3,4 mois pour terminer toute une série de choses sérieuses et assez déterminantes.
1 mois supplémentaires pour me retourner.
On passe à trois.
On n’aura pas trouvé mieux comme deadline.
Si j’assure, le timing sera parfait.
À la rentrée, nouvel horizon encore indéterminé mais tout à fait excitant. À ce moment là on parlera des nouveaux projets
3,2,1, c’est parti. Si pas de nouvelles, rendez-vous en avril. -
Roulette russe
22 novembre 2012, par JoannaAvant de jeter un fichier d’export temporaire qui contient toutes les images du film, j’ai fait une petite sélection au pif.
J’ai mis la dose, ça compensera peut-être l’énorme lacune de ce site en image.
Ca me désole si seulement je pouvais un peu avoir le temps de dessiner à côté...rhhaa...
Il y en a que je ne peux plus encadrer, le début notamment, mais je pense que c’est normal, d’autres qui me laissent très perplexe, ça doit être normal aussi, et puis d’autres qui sont "en (…) -
Le départ
19 novembre 2012, par JoannaLes petits, ce sont mes préférés de loin.
Ils viennent d’une peinture d’Antoine Caron, "Les funérailles de l’Amour" qui est au Louvre.
On remarquera qu’au passage ils auront perdu quelques détails anatomiques camouflés dans une sorte de babigros ( certainement une réminiscence de mon vécu du confort absolu )...
On les retrouve dans chaque scène où le cortège est présent, les autres je ne les rappelle pas vraiment. Eux c’est différent, ils mènent. C’est venu comme ça, ce sont les têtes (…)