Des papiers que tu retrouves enfouis dans des boites Leonidas ( le format de carton d’archivage idéal et gratuit que sont ces boites ) quasi abandonnées sous la table.

La troisième séquence...mon caillou dans la chaussure...
Je ne sais pas comment m’y prendre, c’est désolant à la fin.

En attendant, je retrouve des archives...

J’ai peut-être fait une multitude de tentatives, et fait proliférer un magma d’archives, mais quand j’ai le courage de rebrancher un disque et de regarder ce qu’il y a dedans, je retrouve des séances de travail qui sont complètement sorties de ma mémoire... c’est assez instructif...et c’est exploitable !
Enfin là en l’occurrence non. J’ai juste été surprise...

J’ai un story board.
J’ai de nouveau un story-board.
J’ai enfin un story-board.
Jusqu’à présent, j’en ai fait une ch*** de story board, mais il faut bien avouer que je les ai souvent fait pour satisfaire une demande, et pas en tant qu’outil véritable.
C’est chose faite. Pour la première fois j’ai un story-board valable pour lequel, je suis même plutôt convaincue.
Si ça c’est pas un grand progrès...
Cet été on relance la machine. QUOI ? Je n’étais pas déjà en train de travailler ??
Ben non, après les 24h, j’ai construit des fausses caisses et des faux bateaux, et puis après on a préparé nos deux émissions radio consécutives, dernière de l’année à radio campus, et première internationale au festival Sismics de Sierre.
Tout en préparant un dossier pour Kijé lui-même, incluant note d’intention, lettre de candidature, budget, mise à jour du story board et de l’animatic, et tout ça et tout ça.
Bref, du dessin, en voilà.

J’espère qu’on va comprendre quelque chose à ce passage...La rencontre entre Kijé et le cortège. Panique et violence...
30 sec où Kijé vivra le pire moment de sa vie, en même temps ce sera sûrement la première fois qu’il ressentira quelque chose...
Je ne veux pas le ménager je veux qu’il panique, je veux que ce soit violent,
je ne veux pas qu’il ai le temps de comprendre, jusqu’à ce qu’il en perde conscience.