Joanna Lorho

les auras

Novembre 2011

♥ 1 commentaire

OKAY. CA Y EST. JE CROIS J’AI FINI.

Ca tombe bien parce que j’avais prévu de terminer ça la semaine passée.
Prochaine étape, penser précisément à la façon dont Kijé va se faire chahuter, balancer, pousser, reprendre, ignorer, repousser, se retrouver nu, puis se prendre une tête de cerf sur la tête, que cette tête prend vie sur lui, et que lui, il s’évanouit. En 300 images.
Et en rythme.

Dans son petit manteau

Novembre 2011

♥ 2 commentaires

Ca ne s’entend pas mais il marche en rythme.

qui verra l’herbe pousser... ?

Novembre 2011

commentaire

Séquence 3 terminée...j’admets qu’il y a des choses que je ne peux pas faire comme je voudrais, même si je passais trois mois de plus dessus.
Pendant qu’une partie de la séquence 4 se refait une beauté dans after effect, je m’attaque à la suite, j’atteins le premier "climax". Je crois que je vais aimer lui faire perdre connaissance.

oranges confites

Octobre 2011

commentaire

l’aube.

Octobre 2011

♥ 2 commentaires

La troisième séquence...mon caillou dans la chaussure...
Je ne sais pas comment m’y prendre, c’est désolant à la fin.

En attendant, je retrouve des archives...

Oh no.

Octobre 2011

commentaire

2200 images sur 5800.
500 en cours de finalisation.
Et puis pour le reste, néant. Se référer au story-board.

Descends pour voir ? Non, mais descends

Octobre 2011

commentaire

Maintenant que j’ai fait mes petites modifs, je me prépare à monter mes petites scènes à la suite des petites scènes précédentes.
J’ai dit tout à l’heure que j’étais plutôt logique dans ma manière de procéder.
La preuve.
Etre logique, c’est pratique, mais quand on est con...

Donc là on a une image du montage dans lequel je suis venue vérifier 15 fois, vous voyez, il y a en gros, deux colonnes vertes, c à d, deux scènes grosso modo.
Et puis ça avait vraiment l’air de s’arrêter là. J’ai pas du tout prêté attention au calque qui s’était développé là, la grande partie grise et horizontale...le stress....( là elle se cherche des excuses )

Parce qu’en dessous,

Voilà, là, quand on descend

Il y a la suite. Celle que j’ai cherché désespérément.
Voilà comment on perd plusieurs heures.
Et un peu d’estime en soi aussi.
Oh que oui je suis désolée.

Bon, je peux sauver l’honneur aussi, je préfère ce que je viens de refaire.